En 1971, dans le petit village nommé Belmez De La Moraleda en Andalousie (Espagne), la famille Pereira découvre dans leur maison des visages qui apparaissent sur le sol en béton.
C'est Maria Gomez Camara, épouse Pereira, qui découvre en premier, dans sa cuisine, une sorte de tache au sol ressemblant à un visage qu'elle n'avait jamais vu auparavant à cet endroit.
Après cette étrange découverte, elle, son mari, et son fils tentent d'effacer la tache avec divers détergents mais en vain.
Le fils décide donc de démolir la dalle de ciment sur laquelle apparait la tache et de placer une nouvelle dalle de béton, mais le visage réapparait sur la nouvelle dalle.
Peu de temps après, la famille remarque que d'autres visages apparaissent sur les murs et les sols de la maison.
Des fouilles ont été effectuées et des ossements furent trouvés sous la maison. Deux des corps, datant du XIIIème siècle, n'avaient pas de tête. Croyant découvrir la cause du problème, on inhuma
les corps dans un cimetière catholique pour "apaiser les esprits", et le ciment fut coulé de nouveau.
Mais les apparitions de dessins n'étaient pas finies. Cette fois, des visages, parfois accompagnés de troncs ou de mains, sont apparus à plusieurs endroits de la cuisine, et même dans d'autres
pièces de la maison.
Ce phénomène s'est poursuivi durant l'année suivante.
Intrigués par ce phénomène hors de l'ordinaire, une foule de visiteurs affluaient à la petite maison située au 5, Rodriguez Acosta. Certains visiteurs ont affirmé que des visages se sont formés devant leurs yeux.
Les autorités ont tout de suite cru à un canular mais les enquêtes qui suivirent ne purent en rien prouver une quelconque supercherie.
Plusieurs experts sont venus sur les lieux pour pousser l'enquête.
À des fins d'analyse, la cuisine fut scellée pendant trois mois, et au bout de ce laps de temps, les visages avaient changés, et s'étaient déplacés...
Tous les tests possibles ont été effectués sur les visages. Des spécialistes de plusieurs universités européennes ont tenté de trouver des matières chimiques (peinture, teinture, nitrates, chlorides, sel d'argent, etc.), mais sans résultat.
Il y eut aussi des tests de radioacitivité, de rayons-x, de détection de matières organiques qui furent effectués. On a pris des photographies à l'ultra-violet et à l'infra-rouge. Aucun de ces tests ne put prouver une quelconque supercherie.
Les enquêteurs ont finalement pensé à installer des micros dans les pièces et contre toute attente, ces appareils ont détecté des sons inaudible pour l'oreille humaine: des voix d'hommes, de femmes ou d'enfants, des gémissements douloureux, des pleurs.
Parmi les nombreuses phrases qui furent reconnues, fut entendu celles-ci :
- L'enfer commence ici
- Maria, je veux partir
- Ils sont tous là.
- Ils sont tous morts.
- Maman!
- On souffre
Les voix prenaient même part aux conversations qui avaient lieu dans la pièce, même si elles n'étaient pas entendues sur le coup.
Par exemple, lorsque l'enquêteur Pedro Fernández a interviewé Isabel, la nièce du couple Pereira, Isabel a affirmé qu'elle croyait que les visages apparaissaient parce que les âmes sans repos des morts cherchaient quelque chose de spécial. Sur l'enregistrement, on entend une voix répondre à cela: "Justice".
Sur un autre enregistrement, l'enquêteur Pedro Amoros suggère à Maria Pereira de s'adresser tout haut aux forces responsables des apparitions de visages dans sa maison. Maria s'exécute et demande: "Pourquoi avez-vous choisi ma maison?", et sur l'enregistrement, on peut entendre la réponse: "C'est un abus".
Il parait que certains dessins sont encore visibles aujourd'hui, et la maison est toujours visitée par des curieux. Maria Pereira est morte en février 2004.
Petit reportage sur les visages de Belmez :
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Anciens Commentaires :
Quelqu'un (mardi, 28 avril 2015 11:19)
Je sais pourquoi...Les scientifiques auraient découvert un cimetière sous la maison
Quelqu'un (mardi, 28 avril 2015 11:23)
Les fantômes ne lui voulaient aucun mal !un jour la femme est parti à l hôpital les visages ont changé ,ils y avaient des visages en pleurent!