Testé sur PLAYSTATION 2.
Bienvenue dans le petit village d’Hanyûda, avec ses rivières pleines de sang et entouré de toute part par les montagnes suite au son d’une sirène. Kyoya Suda, un jeune étudiant de 16 ans pas très courageux sera le premier personnage que vous manipulerez.
Vous commencez en pleine forêt, le brouillard est dense et l'atmosphère est plutôt lourde.
Soudain, vous voyez une jeune femme qui vous est inconnue et s'afférant à ses occupations. Elle vous repère et fuit.
Mais la vision change ensuite, une secte se dévoile sous vos yeux écarquillés, un sombre rituel est en cours, ce qui augmente encore plus l'inquiétude de votre personnage.
Malheureusement pour lui, il est repéré. Une folle course poursuite commence donc en pleine forêt. Le policier à vos trousses émet des gémissements malsains et bizarres. Mais que s'est-il passé dans cet endroit d'ordinaire si tranquille ?
Pourquoi tous ces gens sont devenus des zombies ?
Là débute votre première mission, échapper au policier qui est à votre poursuite. Chose qui ne sera pas aisée car vous êtes en pleine nuit et vous mourrez aux moindres coups reçus et votre assaillant coure vite. Mais ceci n’est rien d’autre qu’un amuse-gueule pour la suite du jeu !
En effet, préparez-vous à mourir plus que souvent au travers des 32 chapitres (+ certains que le jeu vous forcera à refaire) et ce, qu’importe les 10 personnages jouables !
Mais ne vous en faites pas, ils seront pourvus d’un pouvoir afin de vous aider ‘vision’ : celui-ci vous permet de localiser les différents ennemis aux alentours pour ainsi les évités et finir entier jusqu’à la fin du niveau en cours.
La jouabilité générale du titre est certes rigide mais réaliste (contrairement à un certain project zero) dans ses mouvements. Impossible donc de courir contre un mur et à l’infini (enfin courir… c’est vite dit).
Graphiquement, le soft s’en sort bien même si il est un chouia trop sombre à mon goût. Le bestiaire fait flipper et est variée au possible, les décors sont sublime (du moins pour l’époque).
La bande-son n’est pas en reste avec presque une absence totale de musique (sauf dans les moments forts) parfaitement maitrise au profit du grognement glauque des ennemis du jeu et autres surprises que je ne dévoilerai pas.
Comptez une petite trentaine d’heure de jeu (rien que ça) pour voir la fin du jeu. Un record pour le genre ! Les énigmes auraient pu être un peu plus travaillées qu’une clé à
retrouver…
"Un jeu d’horreur qui sera vous faire peur grâce à son ambiance réussie et une histoire à vous prendre aux tripes. Dommage que le jeu soit trop sombre à mon goût et sa difficulté en
rebutera plus d’un".
Note de Noobinateur
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